Hum. J’aurais tendance à dire « oui mais non ».
Oui sur le principe de dédramatiser l’échec, oui sur la manière dont c’est rejeté et les (mauvaises) conséquences de cette crainte de l’échec.
Mais non sur le fait que seuls ceux qui ont échoué seraient plus « intéressants ».
D’ailleurs, qu’est ce qu’une personne qui échoue connait réellement ? Une personne qui échoue ne sait _pas_ ce qui fonctionne. Elle sait, au mieux, ce qui ne fonctionne pas. Alors oui, c’est une information, mais ça ne veut pas dire que la prochaine fois cela fonctionnera.
D’ailleurs, une étude de Harvard Business School montre que ceux qui ont réussi dès le premier essai ont un ratio de succès pour leur prochaine entreprise de 34% alors que ceux qui ont échoué la première fois ont un ratio de 23% (ce qu’on peut même admettre comme étant du même ordre de grandeur, à moins d’avoir des chiffres « exactes »)
Maintenant, qu’est ce qui compte réellement ? Ne serait-ce simplement pas l’expérience en tant que telle, succès ou non. Car on ne sait pas plus si quelqu’un ayant réussi à tiré ou non plus d’enseignements que quelqu’un qui échoue (qui peut très bien ne pas comprendre du tout pourquoi il a échoué).
Un lien présentant des résultats de l’étude : http://www.nytimes.com/2009/03/22/business/22proto.html

ps :
#respond input[name= »email »] {
text-indent: 133px;
}
#respond textarea {
text-indent: 97px;
}
De cette manière tous les champs du formulaire fonctionnent de la même manière sans masquer le début du contenu lorsqu’ils n’ont pas le focus