En même temps, je peux comprendre le libraire qui reçoit 600 romans, se fait chier à les lire pour conseiller et à qui on ne demande que le bouquin du rottweiler.
Un peu comme si tu fais du front et qu’on te demande de faire que du table-layout.
En même temps, je peux comprendre le libraire qui reçoit 600 romans, se fait chier à les lire pour conseiller et à qui on ne demande que le bouquin du rottweiler.
Un peu comme si tu fais du front et qu’on te demande de faire que du table-layout.