Content de relire ce livre à travers toi, deux ans après l’avoir lu moi-même.

Je trouve cependant que tu as tendance à trop forcer le trait en « défense » du manager. Je comprends tout à fait le comportement attentiste que tu dénonces dans ce billet, mais tu parles en absolu alors qu’il y a des sujets où je vais attendre des actions de la part de mon manager et le tenir responsable de leur exécution.

Si la solution au problème est dans ma sphère d’influence, technique ou organisationnelle, je vais prendre l’initiative d’agir et seulement demander du support. Mais il y a des sujets (à une échelle organisationnelle trop haute, avec une composante politique, ou liés à des collègues difficiles), qui sont complètement du ressort du manager (« above my pay grade » comme ils disent outre-atlantique). Je participerai à l’élaboration du plan, mais je déléguerai la résolution à mon manager, car c’est son job.