Y’a aussi du jmenfoutisme.
« On » sait que les directeurs littéraires, les responsables, etc. se fichent du numérique.
Ainsi, les grands groupes comme Media Participations (la grosse majorité des BD franco-belges, tendance maison paternelle catho familiale) ne voient pas l’intérêt du numérique.
Et bon nombre de responsables aussi.
On ajoute à ça l’argument développé dans ton billet précédent et hop c’est mort.