Je ne reproche rien ni au journaliste ni à la professeur, qui a probablement toute la bonne volonté du monde. Elle est comme vous, comme moi. Se croire en dehors de ces discriminations du quotidien est illusoire.

C’est bien ça le fond : Si on peut imputer les événements à des affreux, ne pas oublier que nous participons aussi aux causes profondes et aux divisions de notre société