Accepter de ne pas savoir, c’est finalement accepter la vie, ce qui ne va pas de soi.
C’est également accepter le fait qu’on soit aussi guidés par des envies même si notre métier d’humain devrait être de savoir les débusquer pour ce qu’elles sont (ce qui ne veut pas dire les refuser, cf. la glace à la vanille ou à la fraise). Alain l’avait très bien dit.
http://jcgarnier.com/2012/01/08/ne-pas-savoir/