Si je puis appuyer encore plus là où ça fait mal, encourager la normalisation des ventes à coup de « meilleures ventes » non seulement rend les libraires inutiles, mais la lecture étant chronophage cela signifie d’autant moins de temps consacré à d’autres auteurs, qui se vendront ainsi de moins en moins, rendant le système encore plus dépendant des TOP 50 et autres foires commerciales. Un vrai cercle vicieux.