Tu décris bien le problème primaire qui doit être adressé. Ici on n’attaque pas Google+ sur le fait que c’est un outil supplémentaire dans la hotte de ce GfK du net pour acquérir des données marketing à pas cher, mais parce que cet outil nous force à exposer une information en plus (mais qui vaut cher). Alors effectivement, comme cet outil se présente sous la forme d’un réseau social, et que les pigeons volent, alors la réaction est « oui on est d’accord pour tout donner, mais mon pseudo c’est mon identité, je suis triste, qui va me reconnaître sur ce 48ème réseau social, hein ? ». Alors pour les 50.000 personnes qui rechignent à mettre le vrai nom dans l’outil, la seule réponse que Google pourrait donner c’est « ha oui, vous êtes signifiants pour nos analyses marketing, on va lever la contrainte ».
Et les faits sont que Google+ on peut passer outre, Facebook aussi, Twitter aussi. Ce sont des choix d’interactions avec les autres. Si les autres se comportent en troupeau, il faut se demander qui est le berger et décider si on veut suivre.