Surtout que dans l’histoire, le client ne gagne rien, voir vas y perdre. Que l’on mette fin à des pratiques anti-concurrentielles est une chose (et encore, dans une certaine mesure, pourquoi pénaliser celui qui apporte une valeur ajoutée ?). La position dominante n’est pas un mal, c’est son *abus* qui est répréhensible.

J’ai l’impression qu’on prend systématiquement le problème à l’envers et comme je l’ai vu sur twitter hier, que les mauvaises décisions d’aujourd’hui justifieront de nouvelles mauvaises décisions à l’avenir… :-(

A sanctionner la réussite et protéger ceux en échec / qui ne savent pas s’adapter avec en prime la subvention du contribuable, cela commence à me fatiguer sérieusement.

Vu de loin : Amazon va peut être (voir a déjà) remporté le marché de la lecture de masse ; à mon sens le libraire ne peut que se différencier par un conseil et une proximité mais pas par le prix ou le stock. Perso, j’achète mes BDs dans une librairie de versailles justement pour cette raison ; ils ont des séries originales et un bon conseil. Jamais été déçu et pour un prix correct (ou quand bien même je paye plus, j’approuve de part la valeur supplémentaire que j’en retire).

Faudrait que le consommateur assume aussi le fait de soit il paye pas cher et il a ce qu’il a ; soit il a une qualité ou une valeur supérieure mais à un prix pouvant être supérieur. Cela est valable pour tous les produits (supermarché vs marché/producteurs locaux, produits culturels, meubles (IKEA/Alinea vs …) , etc.