C’est d’autant moins une catastrophe lexicale que le terme « liseuse », même si peu usité aujourd’hui dans ce sens, est synonyme de « lectrice » (avec cette nuance, apportée par le Littré, que le « lecteur » c’est celui qui lit à quelqu’un tandis que le « liseur » c’est celui qui lit pour lui et beaucoup) et que le suffixe féminin -euse s’emploie pour des machines comme « perceuse » ou « tondeuse ». Rien de catastrophique donc, il faut juste se réhabituer à la réapparition de ce vieux terme de « liseuse ».