On peut débattre pendant des décennies sur tel ou tel terme, et/ou sur sa prononciation. L’Internet est rempli de « bikeshed arguments » (tiens, comment traduit-on ça ? « débat sur la couleur de l’abri à vélo » ?).

Reste une chose essentielle à laquelle je pense très souvent pendant ce genre de débat : le mot n’est pas la chose.

Rien que ça, ça peut éviter de dépenser du temps et de l’énergie en vain.