Le tableau est bien sur bien moins noir qu’on le dit, surtout qu’on est connu pour être râleur… Maintenant tu ne parles pas des aspects culturels qui eux ne sont pas le fruit de politiques fiscales ou autres.

Je pense a l’acceptation de l’échec et de façon liée a la prise de risque (en particulier pour les jeunes, l’importance du diplôme par ex, etc). Et a l’autre extrême, un problème aussi avec la réussite (il suffit de voir le classement des personnalités préférées). Tout ça, c’est pas prêt de changer…