J’ai un problème avec le titre : copier, ça n’est pas collaborer, c’est de la propagation pure et simple. Au temps des moines copistes, la copie devait se faire avec discernement pour interpréter les originaux trop usés, et en rajoutant des falbalas parce qu’il faut bien se détendre. La « copie » au sens scolaire moderne, c’est l’inverse, on ne sait pas ce qu’on copie, mais on le fait parce qu’on ne sait pas quoi répondre : c’est de la double ignorance.

Alors apprendre à collaborer, oui, mais un groupe avec un perroquet, on sait tous comment ça se finit : dans le silence (ou par se battre s’ils savent faire autre chose que du pinch sur la tablette à papa).