Je vois bien une raison valable.

Si on part du postulat (pour l’instant c’est axiomatique hein) que l’information est le quatrième pouvoir, je serais plutôt pour qu’il soit « étatisé » sans pour autant dépendre directement de l’exécutif. Un peu comme la justice en fait.

Si on arrive à créer pour les journalistes une situation similaire à celle des gens de loi, alors on pourra retrouver une indépendance intellectuelle décorrélée des intérêts du marché.

Donc peut être moins de « journalisme à chiffre », « journalisme à sensation » et plus de journalisme de fond. Enfin, on peut réver