Je redis ce que j’avais mis moi dans cette bulle : là où certain parlent d’eux, d’autre parle des autres, toi, tu me parles toujours de moi. ;)

Quant-à ton dernier paragraphe – Être obligé de répondre « ça va », à la longue, faire semblant d’avoir la joie de vivre, faire des sourire forcés, autant de poisons qui s’insinuent doucement et pèsent chaque jour un peu plus sur les épaules. Non seulement ça ne va pas mais il faut faire semblant. – j’y adhère, hélas, totalement.