[…] À mon sens, on passe à côté du débat. Si les arguments de l’ayant droit sont abusifs, c’est uniquement par chance. Le texte aurait effectivement pu être protégé jusqu’en 2050, peut être plus. La plupart des œuvres mettent plus d’un siècle à passer dans le domaine public. La mienne mettra probablement plus de 130 ans. […]