Tout le monde n’a pas le même idéal, et le pragmatisme ou les situations d’équilibre peuvent être vu comme les meilleures réalistes. Bref, on peut ne pas croire à la réalisation d’un idéal et rester réaliste. Très bien.

Maintenant cela ne m’explique quand même pas pourquoi ces termes qui devraient représenter un « mieux » sont désormais connotés comme détestables.
Je ne parle pas de tel ou tel idéal avec lequel on pourrait ne pas être en accord, mais du terme lui-même.

Considérer qu’on ne peut pas faire mieux avec nos contraintes est une chose, déprécier et détester l’aspiration à mieux en est une autre. On en est là.