@olivier : « une bonne nouvelle d’avoir une école de plus qui forme des gens qui savent coder. »

Cela reste à démontrer pour l’instant. :) Et le programme PDF est trop succint pour savoir ce qui est offert. Comme par définition, il n’y a pas encore d’anciens pour permettre d’évaluer, nous sommes en pleine illusion.

Ce que j’aimerais voir d’une école qui forme les gens à coder. La première année, les personnes sélectionnées après un mois d’introduction aux différents métiers informatiques passent deux mois dans une entreprise à découvrir les réalités du terrain, puis reviennent en cours pour passer à de l’apprentissage.

Un bon codeur n’est pas seulement un bon technicien, c’est aussi une personne qui va travailler au sein d’une équipe. Je suis aussi d’accord avec Eric que de ne pas connaître les détails des parseurs, réseaux, protocoles, etc. est un gros manque. Je ne pense qu’un seul cours pour le Web permettent cela. Il y a également tout ce qui est question de performances et notamment d’informatique « sociale » c’est à dire que le code que l’on développe se retrouve confronter à des dynamiques non contrôlées. Voir l’histoire des parseurs HTML, de la couche HTTP, etc où il est important de comprendre ce qu’est le mustUnderstand où correction d’erreurs à la volée.

J’aimerais aussi que le codeur-apprenant puisse faire un tour du monde dans différents domaines de l’informatique et différents pays. Les contraintes mobile-réseau en Afrique ne sont pas les mêmes en Afrique qu’au Japon.

Mais ce qui me dérange beaucoup c’est le message militaro-testotérone de l’école.