J’ai toujours beaucoup de mal à ne pas considérer le droit du sang comme la vision raciste de la nationalité : Peu importe depuis combien de temps on vit ensemble, avec les mêmes règles, les mêmes contraintes, les mêmes valeurs, la même culture, les mêmes voisins, ils refusent le mélange des sangs.
La réalité c’est que j’appartiens au temps et au lieu où je vis, peu importe qui m’a enfanté. La génétique n’a rien à voir avec la nationalité, ou ne devrait pas. Ma vision tient donc plus du droit du sol.
Bruno Retailleau préfère le droit du sang. Je ne m’en étonne malheureusement pas.
« Le droit du sang correspond plus à l’époque »
Bruno Retailleau, via le journal Humanité
Je crains d’être cette fois d’accord avec lui. Notre époque est fondamentalement raciste et ce racisme se libère de plus en plus.
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