Je vois où ça coince, zut… La difficulté est que le terme « mentor » en lui-même crée déjà une idée de relation qui va dans un sens en particulier, difficile de rétablir l’équilibre.

Dans ce contexte effectivement, le décalage humoristique de « padawan » contre-balance ce poids hiérarchique. Sur un ton plus sérieux, seul « mentoré » me semble suffisamment neutre, bien que très froid.

Peut-être faut-il sortir de l’image du mentor pour une autre définition de la relation, plus basée sur l’échange ? Faute de trouver mieux, je donne ma langue au chat.

(Ravie de découvrir cet espace ! Je crois que je suis tombée sur ton blog via celui de David Larlet, vagabondant de lien en lien à l’affût de nouveaux coins personnels du web)