Belle conclusion.

Avec quelques années d’expérience, je me rend compte que cet aspect n’est pas négligé uniquement dans la vie professionnelle. Pour certaines personnes nos métiers du numérique n’apportent pas réellement de fatigue, nous sommes passionné avant tout.

Pour en revenir au sujet, je suis en accord avec le fait que le « burn out » peut-être considéré à partir d’une baisse de qualité et pas uniquement avec des horaires ou une certaine pression.

J’ai l’impression que tu t’adresses en partie aux décideurs (patrons) ?