Je comprends tout à fait ce que tu expliques et qui est cohérent (hormis que le choix de faire payer certains plus pour que d’autres paient moins existe aussi pour Paris-Web, il se fait simplement sur d’autres bases : en raccourci, sur un critère de motivation).

Sur le plan « social », il y a aussi ce troisième jour d’ateliers à très bas prix, un samedi de surcroît donc moins attractif pour les entreprises avec la complication d’un jour à rattraper ou perdu pour le salarié. Il va donc bénéficier auxdits chômeurs et étudiants. En outre, comme tu le dis, vous calculez des prix le plus serrés possible, vous êtes tous bénévoles, la charge de vérification d’un statut d’étudiant ou de chômeur ne doublonnant pas avec un statut de salarié serait trop lourde.

Bref, pour Paris-Web ou les autres événements de ce type, « ça se tient ».

Sur des conf à 500 euros la journée et sponsorisées à flots (si si ça existe). Des tarifs chômeurs/étudiants pourraient être la part « sociale » consacrée à l’événement sur l’air de « on est cher mais on invite des pauvres à pas cher ». Je t’accorde qu’il ne s’agit probablement pas là d’une « bonne pratique » mais plutôt d’une « bonne comm ».

J’en viens donc personnellement à la conclusion, à la suite de nos discussions, qu’on ne peut établir de bonne pratique à ce sujet : ni le tarif unique, ni la mise en place de tarifs « sociaux ».