J’ajouterai : je ne sais pas si je qualifie au titre d’entrepreneur d’après la plupart des pigeons, vu que je suis clairement dans la création de l’entreprise depuis 1 an et demi mais que je reste salarié de cette aventure, avec une part clairement minoritaire, mais j’y vois bien d’autres problématiques que l’imposition des plus-values.

Oh, et dans mon billet suivant j’ai donné une très bonne citation qui correspond à pourquoi j’ai réagit :

Le discours sur l’entrepreneur généreux, seul créateur de valeur, qui devrait obtenir tous les privilèges dus à son rang est un discours lassant. Et je ne parle même pas des relents libertariens et des accents dignes du Tea Party. Il agace à gauche mais aussi l’ensemble des anciennes industries qui font face à une crise ultra-violente. Ne vous y trompez pas, mes amis, c’est sans doute dans cette ancienne économie que vous trouverez vos pires détracteurs. Ceux qui vous accuseront d’être une économie de la spéculation et de surfer sur une bulle…

Il y a des gens qui souffrent plus que nous, dans ce pays comme ailleurs et je crois qu’il fait meilleur être entrepreneur en France que salarié d’Arcelor.

Et en repensant à ça, défendre un « Nos plus-values doivent bénéficier d’un taux préférentiel d’imposition sur le revenu », c’est un peu délicat. Il y a bien plus important à faire, non ?