> Être « saisi » soudain par une composition avec l’œil, nu, parce qu’on est en prise directe avec le monde est impossible avec un outil entre les deux.

Tiens, en fait mon expérience tend à me dire l’opposé. Avoir cet écran à regarder plutôt qu’un œilleton me fait d’autant plus prendre conscience du cadrage et de ce que sera l’image. Je peux avoir plus de recul sur ce que je prends, construire l’image au lieu d’être simplement spectateur.

La visée directe des réflexes permettait d’avoir le bon cadre dans l’œil à une époque où il n’y avait pas d’alternative pratique