@frederic : rien de paranoïaque dans ton hypothèse, c’est un scenario assez classique de la littéraire d’anticipation où l’inversion accusatoire permet de considérer les tenants de la liberté pour suspects.
On peut même, sans tomber dans le conspirationnisme, envisager que des personnes n’ayant pas à l’avenir de présence sur les « réseaux sociaux » soient considérés comme suspectes, le principe des réseaux sociaux étant d’effacer la frontière entre vie privée et vie publique, et étant de fait, le meilleur outil d’espionnage volontaire.

Une relecture de La Boétie me semble, dans ce moment, plus que nécessaire.