La question doit être poussée bien plus loin.
En effet, çà n’est ni plus ni moins la question de la réécriture du Contrat Social. Quelle sera la nouvelle teneur de celui-ci ?

Est-on prêt à céder nos libertés contre une suppposée garantie sécuritaire (qui ne sera jamais absolue) ? La liberté impliquant une acceptation du risque, et à l’inverse, le refus du risque impliquant la perte de nos libertés inscrites comme ‘fondamentales’.

En somme, la sécurité deviendrait le droit fondamental, et non plus la liberté. Le reste n’est que corrolaire et mise en oeuvre règlementaire de ce nouveau Contrat.