Et c’est difficile à écrire pour cette même raison, mais faire comme si ça n’existait pas n’est pas forcément mieux. Attends le billet suivant, c’est encore plus triste (mais il faut que je le fasse aussi) : https://n.survol.fr/n/que-se-passe-t-il-le-jour-ou-je-ne-suis-plus-la-bis