Comparer ce qui s’est passé hier avec les guerres, prises d’otages ou famines, c’est comme comparer des choux avec des carottes.

Oui d’un point de vu « nombre humain », ça n’est pas si grave. Mais il y a une différence effroyable entre être au mauvais endroit au mauvais moment (guerre, crash d’avion etc) et le fait d’avoir été attaqué et tué pour son engagement et ses idées.

Les gens de Charlie Hebdo étaient convaincus que le blasphème n’avait pas à disparaitre car 2-3 abrutis n’ont rien compris à leur religion.
Et ils en sont morts. En plein Paris. En 2015.

C’est bien différent du reste.