Le problème vient surtout du fait que l’industrie musicale a beaucoup de retard dans le domaine de la mise à disposition de contenu numérique. Les couts de R&D ne sont pas encore amortis et sont imputés sur les téléchargements, ce qui explique une différence de prix avec la filière physique qui est rodée et qui maitrise ses couts depuis 50 ans.

J’ai peu d’espoir que cette filière se développe réellement sur ce modèle, les clients ayant à choisir entre un prix raisonnable sur une technologie dépassée et un prix exorbitant sur une nouvelle technologie.

J’espère voir à l’avenir des partenariats avec des sociétés qui ont déjà une expérience du téléchargement (je pense à Apple, Steam mais aussi Mégaupload) afin de mieux maitriser les couts de distribution numérique et se rapprocher de « l’ancienne méthode. »