J’ai l’impression parce qu’il y a n’a pas de notions d’occasion dans le monde numérique. L’occasion est un objet qui a déjà vécu. À la première lecture de « Why Can’t You Resell Old Digital Songs? » j’ai pensé. « because we do not sell songs in the physical world. We sell object which have songs on them. »

La question de la revente d’une œuvre numérique ne fait de sens que si on instaure un système d’id unique pour chaque copie, une forme de watermark. Cela a des conséquences pour l’auteur, pour la gestion et pour la trace des individus. Cela change la société. L’objet est un système physique anonyme. Le id devient un système identifié à un acheteur qui peut être transmis à un autre acheteur et cela a des conséquences plus que troublantes sur le terme de libertés individuelles. Imagine la revente d’un pamphlet politique de personne à personne et un régime totalitaire mettant la main dessus. Ou encore un ouvrage médical avec l’éditeur vendant le fichier client de la transmission à des compagnies d’assurance.