La psychologue [Willoughby Britton] a mené une enquête auprès d’un millier de personnes qui ont déjà pratiqué la méditation.
La moitié de ceux qui ont médité au moins une fois dans leur vie ont dit avoir ressenti des effets secondaires négatifs. Mais, pour 10 % de gens, ces effets ont duré plus d’un mois et ont affecté leur fonctionnement
Long format écrit sur Radio Canada à propos des effets psychologiques secondaires de la méditation (les citations viennent de là).
Assez intéressant, et un peu effrayant.
Mais dans certains cas, comme pour Neesa Sunar, les symptômes sont permanents.
On m’a dit que j’avais un trouble schizoaffectif de type bipolaire. Je devrai vivre avec cela pour le reste de ma vie,
J’ai personnellement toujours vécu la méditation comme un risque à chaque fois qu’on a tenté de m’y introduire, et ça sous plusieurs formes. J’ai pu me dire que ce n’était pas pour moi, que je n’étais pas prêt, que je ne comprenais pas et ne savais pas faire.
C’est peut-être un peu plus complexe mais aussi plus large que ça.
Le psychiatre d’origine indienne Rishab Gupta est surpris de constater que ces effets sont méconnus en Amérique du Nord.
En Inde, les gens sont plus conscients des risques liés à la méditation. Même les écrits bouddhistes anciens en font mention, explique celui qui est aujourd’hui professeur à l’Université Harvard.
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