Tu peux être dans une certaine forme d’émotion (ce qui est mon cas : de l’empathie), sans pour autant tomber dans la folie et l’absence de raisonnement (qui oui sont un peu ridicules).

Pour ma part, cela me touche, dans le sens où je ne peux rester insensible à ce que des gens meurent. Que ce soient des SDFs, des dessinateurs, des pauvres gens, des victimes de guerre, des gens qui ont faim, etc. Il m’est impossible de classer combien chaque chose que tu mentionnes me touche plus ou moins, car il n’y a pour moi pas d’échelle : un enfant n’a pas à mourir, un dessinateur n’a pas à mourir, etc.

Et pourtant, ça ne m’empêche pas de raisonner.